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N° 4, 15 VII 1627, certificat de F Raphaël de Pluviers, prédicateur capucin qui certifie l'authenticité d'une relique de St Christophe donnée par mlle, veuve de mr Robichon, correcteur Cs, à l'église St-Christophe

N° 18, 1649, me Jean Gastineau, marguillier comptable de St-Christophe
N° 19, 1650, Jean Morant, marg. compt
N° 20, 1619, Jean Champion, marg comp

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Saint-Côme et Damien
L 634 n° 24, arrêt plt du 18 I 1677 portant règlement pour les limites d'entre messieurs les curés et marguilliers de la paroisse de Saint Sulpice avec messierus les curez et marguilliers de la paroisse de Saint Cosme
Il s'agit de savoir si les limites de la paroisse de St-Côme correspondent avec le mur de Philippe Auguste
L'avocat de St-Côme (p. 22) plaide que l'évêque de Paris, dans son bref du 17 X 1616 a confondu trois lieux différents : le parloir aux bourgeois, le clos des Jacobins et le clos aux bourgeois : « le parloir aux bourgeois était anciennement l'hôtel de ville de Paris, il estoit basty entre les portes st Jaque et st Michel et lorsque, pour la commodité du public, le prevost des marchands et eschevins transfererent l'hotel de ville en la place de Greve, ils accenserent l'hotel dit le parloir aux bourgeois aux religieux de Bourgmoyen de Blois sur lequel ils retinrent douze deniers parisis de fond de terre et soixante sols parisis de croist de cens ou rente annuelle et perpetuelle avec toute justice et seigneurie fonciere. Cet hôtel dans les lettres du prevost des marchands et echevins de la ville de Paris du neufieme novembre 1365 est dit estre assis sous la porte d'Enfer tenant d'une part aux hostieux et pourpris des relligieuses personnes le prieur et couvent des freres prescheurs de Paris, et d'autre part à laditte porte d'Enfer ». Charles V donna aux Jacobins led hôtel du parloir aux bourgeois en novembre 1365 pour les dédommager des bâtiments qu'il avait fait abattre pour les fortifications de la ville, et dédommagea les religieux du Bourgmoyen et l'Hôtel de ville, lieux dont les Jacobins jouissent encore aujourd'hui
Cf. L'auteur des Antiquités de la ville de Paris
Le clos aux bourgeois était une dépendance du Parloir aux bourgeois, situé de l'autre côté de l'ancien chemin d'Issy, aujourd'hui rue St-Micel, à l'opposite du clos des Jacobins

L 634 n° 34, registre des baptêmes de paroissiens de St-Côme habitant rue de la Harpe
Registre depuis 1547 jusqu'en 1561
30 IV 1547, bapt de François Malvaut, fils de Guilbert, conseiller et de dame Françoise Versoris, dt rue de la Harpe au logis d'Auxerre
8 VII 1555, bapt de Françoise Aurou, fille de me Jerosme Aurou, advocat plt, et de Jeanne de La Rozière, ses père et mère, dt rue de la Harpe
2e registre nota qu'en 1555, il y avait Jeanne de La Rozière, mariée à n Jérôme Aurou, dt rue de la Harpe au Petit Bayeux, proche St-Séverin
21 I 1558, bapt de François Jouillet, fils d'Antoine, Jouillet, c Cht, et de Marguerite Versoris
même registre, f° 116, de la partie des mariages
25 VI 1559, n h Jean de Luine * damlle Marguerite Fusée, en la chapelle de la maison d'Auxier en la rue de la Harpe
17 I 1560, fiançailles de me Denis de Rubentel, av plt et de damlle Françoise de Malvaut, rue de la Harpe

registre du 3 IV 1555 jusqu'à 1572

registre des baptêmes depuis 1598 jusqu'en 1636
2 V 1618, bapt de Claude Bry, fils de messire Gilles Bry, sr de La Clergerie, avocat plt, et de damlle Elisabeth de Neufbourg, dt rue de la Harpe
19 X 1620, bapt de Gilles Bry, fils des mêmes
19 I 1622, bapt de Marthe, fille des mêmes

Registre des mariages depuis 1601 jusqu'en 1650

Registre de 1603 à 1663
2 VII 1631, décès de mre Jean Tiracault, avocat général, rue de la Harpe
15 XII 1651, inhumé mre Pierre Dupuis, conseiller, décédé en sa maison rue de la Harpe
16 IX 1652, inhumé Gilles de Bry, écuyer, sr de La Clergerie, avocat, en sa maison, rue de la Harpe
18 X 1656, inhumé mre Jq Dupuis, conseiller

28 I 1657, inhumée Marguerite Drouet, veuve de Jean Jullien, imprimeur et md libraire, rue de la Harpe

Registre des baptêmes de 1637 à 1665
14 V 1642, bapt de Gilles de Bry, fils de Roland de Bry, écuyer, sr de La Clergerie, avocat, et de damlle Marie Brice, dt rue de la Harpe
13 I 1656, bapt d'Anne, fille de Jean Jullien, imprimeur et de Marguerite Drouet, sa f, dt rue de la Harpe
8 V 1658, bapt de Pierre, fils dud Jean Jullien et de Françoise Fauconnier, sa f

L 634, n° 35, compte de la confrérie du Saint Sacrement de l'église St-Côme du 23 juin 1656 au 23 juin 1657 par Claude Curé, me charron, receveur de lad confrérie

L 634 n° 37, Etienne Millacier, marguillier de St-Côme 11 IV 1568

L 634 n° 37, Noms de MM les marguilliers comptables de la paroisse St-Côme
Messieurs
1424-27 Leclerc
1496 Soret
1497-1504 Leblanc
1505-6 Frontesange
1507-1513 : Masson
1514-1518 Berthier
1519-1529, Billard
1530-1537 Hardy
1538-1544 Loiseau
1545-1552 Antony et de La Courtine
1553 Goüin
1554-1557 Bonin
1558-1561 Pochet
1562-1573 Gageteau (sic) LXXIII 28, 15 VII 1563, les marg. Sont n h et s me Barthélemy Faye, conseiller parlement, hons hs me Jean Tronson et Jean Bagereau, tous deux procureurs au parlement
1574-1575 de Colanges
1576 1580 Defrontinier
1581-1582 Dumont
1583-4 / (blanc)
1585-1586 Chevalier
1587-8 Mercier
1589-90 Lemoine (Félix, me tombier)
1591-92 Delavergne
1593-94 Robillart
1595-6 Rollet
1597-98 Pasquier
1599-1600 Poussemotte
1601-2 Hullot
1603-4 Cropet
1605 Larcher
1606-7 Gaultier
1608-9 Degouvenain
1610-1611 (blanc)
1612-13 Guyot
1614-1618 Lespicier
1619-1620 Pertuis
1621-2 Gaultier
1623 blanc
1624-5 Coulcard ? Couleau ?
1626-27 Aubereau
1628-30 Guilbaud
1631-2 Bessin, Etienne Bessin, procureur au parlement
1633-34 Ruellé
1635-6 Papin
1637-1641 Lebé
1642-43 Guillier, procureur au parlement
1644-45 Guillier
1646-7 Chibert (procureur parlement)
1648-9 Chemin
1650-1 Richard
1652-3 Bessin (Etienne, procureur parlement, fondation du 28 II 1668 devant Baglan, notaire) voir L 634 n° 38)
1654-5 Blavette
1656-7 Dubois
1658-9 Leroy
1660-63 Girault
1664-71 Saulievre
1672-76 Vallée
1677-78 Prat
1679-80 Charrier
1681-2 Leleger
1683-7 Lelubois
1688 Roullin
1689-90 Charpentier (fondation de la confrérie St-Joseph des compagnons charpentiers : sont marguilliers mre Robert Leschassier, c plt, et me Charles Charpentier, procureur plt, n° 36, 21 IX 1689)
1691-2 Desaintjean
1693-4 Boileau
1695-6 Parier
1697-8 Saran ou Soran
1699-1700 Delafond
1701-1708 Lafoüasse
1709-10 Laudemoine
1710 Debais
1711 Martin
1712 Saulnier
1713 Destouches
1714 Viard
1715 Dumazet
1716 Lapostolle
1717 Petit
1718 Collier
1719 Charpentier
1720-21 Duparc
1722 Lemaistre
1723 Meunier Callou ou Callat
1724 Boursin
1725 de Malleroy
1726 Mars
1727 Philippe
1728 Gallois
1729 Cugnier
1730 Decallogne
1731-2 Bertrand
1733 Thonnelier
1734 Prevost
1735 Granger
1736 Hautefeuille
1737 Lechesne
1738 Isnard
1739 Fontaine
1740 Dinet
1741-2 Sorain
1743 Laglaine
1744 Boivin
1745 Charmat
1746 Houllier
1747 Sejan
1748 Allix
1749-50 Luro
1751 Lefaure
1752 Daminois
1753 Vignar
1754 Cressonnier
1755 Levacher
1756 Biet
1757 Brunet
1758 Formé
1759 M. Delamarre
1760 Petit
1761 Langlois
1762 Pierre de Villemair
1763 Leblanc
1764 Lechauve ?
1765 Chevallier
1766 Durieux
1767 Hirardin

la liste s'arrête en 1767. Une autre liste antérieure s'arrête en 1745 (quelques variations orthographiques)

L 634 n° 37, titres de la fabrique concernant les maisons lui appartenant
Dans une consultation du 16 août 1582, signée Desmolins, Canaye et Chippard, il est dit que les revenus de la cure sont de 200£ par an et ceux de la fabrique de 400£, « encore la plus grande partie deniers d'aumosne casuels » procès contre le curé me Claude Versoris
Les comptes du gros ou fixe du curé font apparaître depuis 1589 où M. Hamilton l'était, et les comptes de Paquier marguillier de 1597 à 1599, qu'il ne montait guère qu'à 47 ou 48£. De 1599 à 1701, ce fixe a augmenté : Hébert, en 1614, touche 59£ 10S, 1616, 77£ 10s, en 1622 (Gautier, curé) 80£, en 1633, 97£ 10s, 1635 (Noël Bry, curé) 152£ 10s . De fita, curé en 1683 ne touche plus que 132£ 10s
Conflits au XVIIIe siècle

En 1574, les marguilliers étaient les sieurs Gruget et de Colanges
1604, Geoffroy Lambert, ci-devant receveur de St-Germain des Prés
1636, le notaire de la fabrique est de Rivière et en 1631 Garnon