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2 I 1713, famille Taitbout
19 I 1713, inv ap d à la req de damlle Marguerite Guyot, séparée de biens, veuve de me Laurent Buirette, proc Cht
prisée de la pratique par Claude Guebrunet et Gaston J. B Legerin, proc de communauté, le 25 I à 4000£
« nous estimons en nos consciences qu'elle peut valloir la somme de 4000£ », ensemble les bureaux, tables et tablettes
N° 1, nomination à S M dud Buirette par me Jean Lefort, proc Cht, le 15 IX 1684 (Blanchard et Simonnet, not)
Qce du marc d'or
N° 2, c m (de Villaines et Boindin, 4 II 1687), dot 10000£ dont 1/3 en communauté, le reste propre, dre préfix : 400£ de rente, préciput 1500£
3 II 1713, inv ap d de la veuve de 2 secr roi
n° 1, c m (Vaultier et Parque, 3 II 1648) Anne Oger * P. Petit
dre préfix, 600£ de rente et 350£ slmt si enfant, préciput 1800£
n° 2 c m ( Gaultier et Leroy, 19 XI 1665) Anne Oger * Nicolas Guilbert
dre 1800£ de rente + donation entre vifs d'une maison coin de la rue Cloche Perce, préciput 3000£
n° 3 provision de l'office de secr chb roi du 15 I 1613 à Pierre Petit, père dud feu Pierre Petit, secr roi, époux d'Anne Oger
n° 4, inv ap d de Pierre Petit (Gaultier et Leroy, 23 X 1665)
n° 5, inv ap d de Nic. Guilbert (Gaultier et Leroy, 20 VIII 1670)
n° 9 inv ap de damlle Marie Penon, mère d'Anne Oger, et veuve de me Christophe Oger, très prov extra guerres en Berry (Dionis et Leroy, 3 VII 1679)
n° 16, échange (15 II 1574, Marchant et Vassar) où Ant. Petit, fourrier de la grande écurie du roi de Pologne, reçoit une maison et jardin à Limeil
n° 27, partage sous seing privé de la suc de Pierre Petit le père entre Pierre Petit, Jq et Jean Petit, 6 XI 1646
rien sur les offices
23 II 1713, énorme délibération des créanciers de f Mr Forcadel, jusqu'en 1748, Claude F, commissaire aux saisies réelles
4 III 1713, vente par damlle Marguerite Guyot, veuve de me Laurent Buirette, sép biens, tutrice... à
enchères Jean Greban, proc Cht, a offert 1200£ puis 1500£
enchères de me Louis François Pouzet, aussi proc Cht, qui offre 1600£
Greban offre alors 2000£, puis 2100£
Elle est adjugée à Greban pour led prix
personne ne s'est présenté pour acquérir l'office et la pratique conjointement
quelques jours avant le décès de Buirette, Jean Greban lui avait offert 2000£ de sa pratique, offres que Buirette avait décliné... « il se seroit passé pres de deux mois pendant lequel temps lad pratique a deperry journellement qui est encore vray »...
l'office n'est donc pas vendu, les héritiers sont en contestation sur ce point et sur le fait que la pratique n'est pas trouvée preneur au prix de sa prisée
© Robert Descimon 1999-2006